CHARMOY-CITY : LA REVITALISATION SANS FARD - du 02 mars 2018 (J+3362 après le vote négatif fondateur)

        Le Bien Public d’hier faisait écho à la réunion publique tenue le 27 février dernier à la salle événementielle à propos du projet de revitalisation du centre-bourg.

       Dans un long article en pleine page, sous le titre « AUXONNE URBANISME Revitalisation du centre-bourg : des commerçants inquiets », Catherine Bonnet rend compte de façon particulièrement détaillée des échanges qui ont suivi la présentation du projet par les représentants des bureaux d’études Urbanis et Urbicand.

     Nous avions ressenti, quant à nous, le caractère impressionniste, plus que techniquement détaillé, de cette présentation. L’article confirme le fait en ces termes : « Les deux  représentants des bureaux d’études ne faisant pas de maîtrise d’œuvre, n’ont pas pu donner de réponses précises mais des « ambiances générales » ».

    Comme nous l’avons déjà souligné, l’article a le mérite d’accorder la plus grande place à un compte-rendu ouvert, détaillé et objectif des échanges entre la salle et la tribune. On n’y trouvera ni la liste exhaustive des personnalités présentes, ni leur photo en rang d’oignons, ni même le compliment final de Rémi, c’est ainsi que l’appelle notre premier magistrat, cerise sur le gâteau à notre sens hypertrophiée autant que superflue (nous parlons du compliment bien entendu !)

CHARMOY-CITY : LE CONCERT DE VIOLONS DE LA CONCERTATION  - du 28 février 2018

 Quatre grands sujets auront donc été abordés, dont l’article rend compte en détail :  

- 1. Les travaux de requalification de la rue principale, leur nature, leur cadencement, les nuisances induites pour les commerçants.

- 2. La perspective d’une taxation sur les cellules commerciales inoccupées. Inoccupation due, selon la municipalité, au caractère excessif des loyers demandés.

   À ce propos, une ex-commerçante a rappelé cette vérité citée dans l’article : « Si les commerçants ne s’installent pas à Auxonne, ce n’est pas qu’un problème de loyer. Les personnes ne s’installent plus dans les communes, c’est un fait. Ce n’est pas en taxant les propriétaires que l’on va leur rendre service » Nous sommes heureux de saluer ici la propriétaire des murs d’une boutique largement évoquée et encore très récemment dans notre blog.

CHARMOY-CITY : MIGRANTE, MAIS TOUJOURS PRÉSENTE - du 27 février 2018

    Lors des heures épiques précédent la consultation-fantoche de juin 2010, la propriétaire de cette célèbre boutique à l’enseigne « Le Réveil du Centre-bourg », m’a grandement aidé par son brio et sa générosité, à lancer Chantecler.  Je l’en remercie encore ici.

CHARMOY-CITY : SANS CALÈCHE, ÇA CALANCHE DANS LES URNES, CITOYENS ! - du 20 Juin 2017

- 3. Les mesures visant à promouvoir le commerce existant au centre-ville : projet de « charte de qualité des devantures commerciales », « stratégie d’ingénierie au développement du commerce », « stratégie commerciale globale [s’adaptant] aux nouvelles exigences des consommateurs »]. Ces mesures « Pour que le commerce de centre-ville résiste [n’étant] pas antinomique[s] avec la présence de grandes enseignes.», conclut l’article.

- 4. Comme il était à prévoir, les vieux démons de la saga du Charmoy, n’ont pas manqué de s’inviter. L’article en rend compte objectivement en troisième colonne. Il rapporte les propos d’« un habitant », ancien président de l’UCIAA naguère très actif contre le projet Leclerc et ex-colistier de Raoul Langlois, l’inusable politicien, aux municipales de …1983.  L’ « habitant »  évoque le déclin démographique du petit commerce de centre-ville…et ses causes.

       Les vieux démons de la saga du Charmoy remplissent aussi un petit encadré intitulé : « Le magasin Leclerc fait toujours débat ».

    Cet encadré mentionne : « Un riverain [interpelle] l’assemblée posant cette question : « Pensez-vous que le pari lancé par M. le maire en octobre 2015 qui disait : « Si nous avons une grande surface avec l’arrivée du magasin E.Leclerc, cela attirera du monde au centre-ville ? a-t-il été tenu ». Suit la réponse amphigourique de notre premier magistrat.

     Le « riverain » en question n’est autre que votre serviteur. Qui a d’ailleurs eu l’insigne plaisir de voir ses déclarations qualifiées en réunion de « divagations » par notre « inusable politicien ». Battons notre coulpe, modestie oblige, nous aurions  dû dire en fait « octobre 2014 » et non « octobre 2015 ». Preuves à l’appui :

UNE MINUTE 38 DE BONHEUR ( 3ième  épisode) - du 31 OCTOBRE 2014

http://youtu.be/4PMrRymYg5s

Revitalisation de charme à Charmoy-City

Revitalisation de charme à Charmoy-City

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 02 mars 2018 (J+3362 après le vote négatif fondateur)

Publié dans Revue de presse

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