AUXONNE : À l'EMPIRE, UN FILM À FEU ET À SANG « HURRY UP TOMORROW » - du 11 juin 2025 (Jour 353 de la nouvelle ère de Chantecler)
11 juin 2025AUXONNE : À l'EMPIRE, UN FILM À FEU ET À SANG « HURRY UP TOMORROW » - du 11 juin 2025 (Jour 353 de la nouvelle ère de Chantecler)
Dans notre précédent article en lien ci-dessous, nous annoncions l'intention de « poursuivre vers le Nord notre croisière rhénane à la rencontre d'un chef-d'œuvre romantique de la légende napoléonienne ».
Changement de programme ! Nos bienveillants lecteurs appréciant le caractère varié et inimitable de ce blog voudrons bien nous excuser de renvoyer la suite de notre croisière rhénane au prochain numéro
AUXONNE : DES RIVES DE LA SAÔNE À CELLES DU RHIN - du 07 juin 2025
La cause de cette escale imprévue est imputable à notre fréquentation assidue du cinéma municipal « L'Empire ». Pour le meilleur le plus souvent, mais parfois pour le pire...
Le film dont je voudrais vous parler dans cet article n'a pas connu une grande audience. « Hurry up tomorrow », c'est son titre, était au programme en matinée mercredi dernier et en soirée les vendredi et samedi dernier. J'étais présent à ces deux dernières séances : avec une demi-douzaine d'autres personnes le vendredi et en solo le samedi.
Pourquoi ce coup double ? Tout simplement pour tenter de trouver les « clés » et les ressorts de cette production qui, en dépit de ses nombreux défauts ne manquait pas d'exercer sur votre serviteur une certaine fascination.
Les spécialistes en matière de critique cinématographique vont me rire au nez ! On ne fonde pas une critique sur de vagues impressions de salles obscures. Celles-là, on les garde pour soi ! Ajoutons au tableau mon vice rhédibitoire de n'être pas anglophone !
Je ne renoncerai pas pour autant !
Pour éviter de trébucher dans mon entreprise, je suis allé chercher sur la toile des béquilles sur lesquelles m'appuyer sur le chemin de ma brève critique sentimentale. Des béquilles plus sûres que mes seules impressions de salles obscures !
Premier pas : le titre du film est aussi celui du dernier album du chanteur pop canadien Abel Testfaye, de son nom de scène The Weeknd. Vous en découvrirez beaucoup plus sur lui dans la suite, car c'est un acteur principal du film.
Deuxième pas : je vous propose de découvrir la bande annonce officielle
La seule chose que je puisse en dire est la suivante : si, en bon spectateur avisé, je l'avais visionnée avant d'aller voir le film, je me serais abstenu !
Troisième pas : La critique sans concession, que j'ai découverte après avoir vu le film en rédigeant cet article, aurait eu, si je l'avais visionnée avant, un effet contraire !
Elle m'aurait paradoxalement incité à découvrir le film et son acteur principal que je ne connaissais pas et qu'elle présente par certains côtés très objectivement, tout en lui reprochant par ailleurs un pitoyable déballage narcissique au nom d'une certaine pudeur, argument que je ne prends pas à mon compte
Quatrième pas : Si, comme moi, vous ne le connaissiez pas, vous avez à présent découvert un aperçu de Abel Testfaye alias The Weeknd.
Je vous propose maintenant de découvrir sa voix dans la chanson Blindings lights (lumières aveuglantes). Si, comme moi, vous avez le handicap médiatique de n'être pas anglophone, je vous propose de découvrir sa voix (sous-titrée en français) dans la chanson Blindings lights (lumières aveuglantes)
Blinding lights traduction française
Nous sommes presque arrivés, le lyrisme et la tonalité de la voix vous auront sans doute convaincu. C'est ce point sans doute qui aura suscité mon désir de revoir ce film.
Cinquième pas : Si vous n'êtes pas convaincu vous avez droit à un nouvel essai dans lequel la voix est jointe à l'image. Sans sous-titres cette fois !
Arrêtons nous là ! Je vous ai fait partager ma curiosité ! Mille excuses aux amateurs invétérés de vieilles lunes auxonnoises et autres oignonades que j'ai pu choquer et aux fans de The Weeknd si par un hasard inouï ils lisent ce texte d'un béotien avoué de la pop et du R&B.
C.S. Rédacteur de Chantecler,
Auxonne, le 11 juin 2025 (Jour 353 de la nouvelle ère de Chantecler)
Publié dans Côté cinéma