CHARMOY-CITY : L’ARGENTIQUE ET LE PORTEFEUILLE - du 10 mai 2017 (J+3066 après le vote négatif fondateur)
10 mai 2017CHARMOY-CITY : L’ARGENTIQUE ET LE PORTEFEUILLE - du 10 mai 2017 (J+3066 après le vote négatif fondateur)
Dans son ouvrage Le vieil Auxonne paru en 1932, André Pidoux de la Maduère mentionnait en page 51 « cette devise un peu sceptique » figurant au-dessus d’une porte dans la rue de la Paix : « Monnoie faict tout ».
Située à l’origine sur la maison natale de Noisot, la devise a disparu de la vue des passants avec la démolition de cette dernière au début des années 1990. Les curieux qui voudraient en apprendre plus de Claude Noisot reliront notre précédent article.
RÉVEILS EN TOUS GENRES - du 21 OCTOBRE 2015
Pour vous, chers lecteurs, Bécanine et Vittoriu se sont mis en quatre aujourd’hui. Invoquant les mânes de Claude Noisot autour d’une table tournante ils ont accompli le prodige d’obtenir avec leur « CHARMOY BOX » un cliché argentique d’un patrimoine, non seulement invisible, mais aujourd’hui disparu !
Après le retour de l’ « humilité » voilà donc celui, en force, de la finance prétendument abhorrée en 2012 par notre président sortant.
CHARMOY-CITY : L’HUMILITÉ IMMORTALISÉE PAR L’ARGENTIQUE - du 8 mai 2017
« Monnoie faict tout ». Il est bien clair que cette devise, « un peu sceptique » aux dires de Pidoux de la Maduère, n’a évidemment rien perdu de son actualité.
La récente campagne, ses « affaires » et les débats sur la monnaie viennent juste de nous le rappeler. La politique managéro-entrepreneuriale, née dans le berceau de Bercy, sans autre idée directrice que la loi d’airain des bilans chiffrés et le talon de fer de la loi du marché, et qui nous pend au nez, nous le rappellera encore.
N’en déplaise au Général de Gaulle, la politique, plus que jamais, se fera à la corbeille ! « Monnoye faict tout » ! Vieille devise, tu n’as rien perdu de son actualité ! Entonnons l’hymne à la joie !
C.S. Rédacteur de Chantecler,
Auxonne, le 10 mai 2017 (J+3066 après le vote négatif fondateur)
Publié dans Figures libres