SPORT, PUBLICITÉ ET POLITIQUE À CHARMOY-CITY - du 31 janvier 2018 (J+3332 après le vote négatif fondateur)

     Dans un précédent article, nous avions déjà rendu compte d’une parution du Bien Public du 28 courant consistant en un diaporama ainsi légendé :

      «  Vendredi soir, l'Office des sports auxonnais (OSA), présidé par Jean-Pierre Roussel, a mis à l'honneur 55 sportifs et licenciés méritants pour leurs résultats de l'année écoulée. L'OSA compte 26 clubs et 2900 licenciés et adhérents ».

      Un diaporama a cette vertu, qu’il vous transporte visuellement dans un évènement mieux que si vous y étiez. Et particulièrement si c’est un évènement de taille, un évènement majeur.

       Tenez ! Un panorama de la bataille de Waterloo vous fait participer à la mêlée de façon plus intelligible et globale que le regard de témoin du jeune Fabrice (Del Dongo) pourtant présent physiquement, mais un peu perdu, sur le champ de bataille.

      Ayant donc fait défiler les images du diaporama, nous sommes revenu à la deuxième sur laquelle, pour finir, nous nous sommes arrêté. Nous en avons d’ailleurs emprunté une partie pour notre illustration du jour.

     Et c’est en contemplant cette illustration qui réunit des sportifs et des politiques devant une banderole publicitaire, que nous avons rédigé le texte qui suit :

 

    Sport, publicité et politique, voilà une triade dont il est difficile hélas de garantir l’indépendance de chacune des composantes ! Et c’est marrant, plus on s’élève dans la hiérarchie, plus le phénomène devient évident.

     Remarquez bien, pour parodier la chanson de Brassens : « Dans notre ville aussi l’on a un joli combinat ». Non, je vous en prie, ne me demandez pas de vous faire un dessin. Regardez seulement le diaporama. Et d’ailleurs de tout cela, je vous ai  déjà parlé.

RÉVEIL MUSCULAIRE À CHARMOY-CITY - du 03 février 2017

    Bien entendu, en conclusion, je ne vous dirai pas ce que l’on a fait dire plaisamment à Winston Churchill : « No sport ! ». Car les combinaisons ne sont pas une bonne raison pour ne pas faire de sport !  

     Le sport c’est bon pour la santé, mais le sportif de base et de bonne foi, celui qui a de bonnes jambes, ne doit cependant pas être trop naïf.

     Il doit savoir d’abord que c’est bon aussi pour la publicité. Passons pour la publicité, il en tire quelques avantages ! Comme le panier de la ménagère sans doute si l’on en croit du moins la banderole publicitaire au slogan légendaire !

http://www.europe1.fr/economie/etats-generaux-de-lalimentation-les-raisons-du-bras-de-fer-avec-leclerc-3454619

 

POLITIQUE ALIMENTAIRE À CHARMOY-CITY - du 29 AVRIL 2016

      Mais au bout du compte,  le sportif de base et de bonne foi, celui qui a de bonnes jambes, ne doit  pas se montrer trop naïf, et doit savoir surtout que c’est bon pour la publicité des politiques. Et là, attention, c’est le politique qui escompte une bonne marge dans les urnes et une médaille d’or de champion aux élections !

    Alors, le sportif doit faire attention à ne pas mélanger les genres.

    Attention ! Même si trois ingrédients entrent dans la composition, et qu’en politique il est conseillé de savoir nager avec de bonnes combinaisons : sport, publicité et politique, ça ne fait pas pour autant un triathlon !

A Charmoy-City, grâce au maire, vous savez que vous achetez moins cher

A Charmoy-City, grâce au maire, vous savez que vous achetez moins cher

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 31 janvier 2018  (J+3332 après le vote négatif fondateur)

Publié dans Revue de presse

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