CHARMOY-CITY, FLEURON DU TOURISME ET DE LA CENSURE ? (2)  - du 21 juillet 2018 (J+3503 après le vote négatif fondateur)

   Dans notre précédent article, nous évoquions la guéguerre des 330 caractères dans le bulletin municipal.

     Cette guéguerre, qui sévit depuis le début de l’année, a déjà fait couler partout pas mal d’encre, sauf peut-être là où elle aurait dû en faire couler : dans les tribunes libres imparties à l’opposition dans le fameux bulletin !

CHARMOY-CITY, FLEURON DU TOURISME ET DE LA CENSURE ? (1)  - du 20 juillet 2018

     Et pour cause, le bassin de rétention de la censure fait subir au débit du flot des propos oppositionnels un écrêtage impitoyable. Du coup, le flot impur de l’info non orthodoxe ne risque pas d’abreuver le citoyen ! Et il semble bien qu’on ne soit pas près de lever la vanne qui semble, pour le coup, bien bloquée !

    Il est vrai, qu’à lire ses déclarations dans la presse, notre premier magistrat ne se fait « pas de souci pour les opposants » qui « n’ont pas de problèmes pour s’exprimer sur les réseaux sociaux et compagnie » (Le Bien Public du 17 juillet dernier)

    Ce qu’a fait Monsieur Coiquil sur facebook le 13 juillet dernier, en publiant un court texte égratignant l’équipe municipale en place sur le chapitre de la promotion du tourisme.

    Le texte, dont l’architecture argumentaire semble, à notre sens, passablement légère, a d’ailleurs été complété depuis, le 17 précisément.

    La « légèreté » du propos n’a pas échappé à notre premier magistrat qui a répondu le 16 « sur les réseaux sociaux et compagnie », plus précisément sur la page facebook du groupe « Auxonne-Passionnément 21 » dans un texte intitulé « Légèreté quand tu nous tiens ».

     Nous renvoyons nos lecteurs intéressés à ces deux textes dont ils jugeront eux-mêmes des contenus.

   Nous citerons ici seulement la première et la dernière phrase du deuxième, intitulé « Légèreté quand tu nous tiens :

« Mr Coiquil voudrait-il déjà lancer sa campagne des municipales de mars 2020 ? »

« Les Auxonnais méritent mieux d’un prétendant au fauteuil de Maire de leur cité. »

     Une chose est certaine, il y a dans ce texte qui pose, d’entrée, la question du lancement de la « campagne » d’un adversaire potentiel, un petit air de « campagne ».

     Un air de campagne qui n’a rien de l’ « exorde rural » d’un agronome ami de la terre s’interrogeant récemment sur les mérites respectifs de la binette, du vinaigre et du glyphosate dans son « Édito » de la presse municipale

CHARMOY-CITY : EXORDE RURAL POUR INFO’TWEET  N° 61 - du 10 juillet 2018

    Mais un air de « campagne » qui nous ramène aux joutes de 2014 entre le « sortant » et le « prétendant », joutes dont l’ambiance délétère est par ailleurs assez perfidement rappelée dans le corps du texte.

      Il est vrai qu’une question cruciale se posait alors déjà, celle de récupérer un Docteur et surtout ses voix !

    Ce qui se produisit dans la Salle du Vannois dont on parlait déjà !

LE SCOOP DU 26 MARS (BIS) - du 27 mars 2014

    Claudi quant à lui a souhaité immortaliser par anticipation le combat du champion en le gravant dans le marbre (non, pas le marbre funéraire grand-père !) de la mythologie !

Myrthologie charmoysienne : Raoulysse et les prétendants

Myrthologie charmoysienne : Raoulysse et les prétendants

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 21 juillet 2018  (J+3503 après le vote négatif fondateur)

Publié dans Revue de presse

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