IMAGES NAPOLÉONIENNES ET FRANCO-RUSSES (3)- du 04 mars 2022 (J+4825 après le vote négatif fondateur)
04 mars 2022IMAGES NAPOLÉONIENNES ET FRANCO-RUSSES (3)- du 04 mars 2022 (J+4825 après le vote négatif fondateur)
Notre précédent article ne constituait qu’un intermède humoristique
IMAGES NAPOLÉONIENNES ET FRANCO-RUSSES (2)- du 01 mars 2022
Nous reprenons aujourd’hui notre série historique d’analyse par l’image des relations franco-russes au dix-neuvième siècle.
Rappelons notre intention affichée dans le premier numéro de la série :
« Heureux citoyens d’une cité napoléonienne, nous sommes bien placés pour savoir que les règnes de l’oncle Napoléon Ier et du neveu Napoléon III ne furent pas une partie de plaisir pour le Kremlin !
Le célèbre et tragique incendie de Moscou en 1812 viendra donc aujourd’hui illustrer à point nommé notre article.
Voilà pour l’oncle Napoléon Ier !
Et le neveu alors ?
Il ne fut pas en reste lui non plus avec la Guerre de Crimée (1853-1855) qui vit trois empires : le français, le britannique et l’ottoman, unis contre l’empire russe. »
Depuis que nous avons écrit ces lignes, de l’eau à coulé sous le Pont de France et sous le Pont de l’Alma !
Et surtout, un scoop napoléonien de taille est venu s’afficher sur le facebook de notre premier édile.
https://www.facebook.com/jacquesfrancois.coiquil
Nous voilà à présent heureux citoyens d’une « ville impériale »... et dynamique !
Cette bonne nouvelle vient d’inspirer Claudi pour l’illustration du jour.
Une illustration qui pose tout bonnement cette question :
« La statue du grenadier du Pont de l’Alma qui s’ennuie au bord du Lac Kir ne trouverait-elle pas une place de choix aux rives de notre Saône où elle pourrait jouer, au gré des crues, le même rôle que son frère d’armes, le zouave, regardant la Seine au Pont de l’Alma ? »
Ajoutons que les deux statues ont un même père artistique, le sculpteur dijonnais Diebolt, et que notre premier édile est lui-même un enfant de la Cité des Ducs ! Entre Dijonnais on devrait pouvoir s’entendre !
Pour notre compte, loin des ors et des lauriers impériaux, reprenons notre examen de l’histoire par le petit bout de notre lorgnette en retrouvant Gustave Doré et son impertinente « Histoire de la Sainte Russie », parue en 1854 en pleine Guerre de Crimée (1853-1855).
Une bande dessinée libre et originale, un peu datée sans doute, mais qui pourrait bien encore nous parler !
La suite au prochain numéro
Post scriptum
Une vidéo fort indiquée pour l’album dynamique de notre cité impériale berceau de l'oignonade !
C.S. Rédacteur de Chantecler,
Auxonne, le 04 mars 2022 (J+4825 après le vote négatif fondateur)
Visions d’histoire