DE LA MÉDITERRANÉE  À AUXONNE, PÉRIPLE D’UN LIEUTENANT EN SECOND (1) - du 1er décembre 2022 (J+5097 après le vote négatif fondateur)

    Il est probable que certains de nos lecteurs nous aient jugé atteint depuis quelques mois de napoléonomanie et que leurs chemins de lecture se soient écartés, pour cette respectable raison, de notre blog.

     Simple hypothèse d’un feuilletoniste soucieux de ne point trop ennuyer son lectorat, car, à vrai dire, les statistiques de fréquentation de nos publications n’indiquent pas d’évolution radicale ni dans un sens,  ni dans l’autre.

     Le présent article, qui ouvre une nouvelle série, comme son numéro l’indique, est destiné à éclairer le lecteur sur l’intérêt que nous avons pu  manifester durant les derniers mois à l’égard de l’histoire napoléonienne et des productions littéraires qu’elle a pu susciter, tant de nos jours que par le passé. Cet intérêt n’a rien de nouveau.    

      Un intérêt pour l’histoire locale que nous avons très tôt manifesté, dès notre enfance, puis dans les traces de notre maître Pierre Camp, et enfin aux côtés de notre épouse, n’est  plus un fait  à démontrer.

     Notre passage au cours de l’année 1970, dans les rangs du 511ème Groupe de Transport, et du même coup dans les murs de l’ex-École royale d’Artillerie d’Auxonne que fréquenta Napoléon Bonaparte à la charnière du règne de Louis XVI et de la Révolution a fait de nous un familier de ces lieux et des hommes qui l’animaient alors.

Qui sait ? Né un 5-11, à Auxonne, nous étions sans doute prédestiné à cette affectation vous dira l’astrologue !

En dépit des années, notre expérience de jeune sous-lieutenant dans ce corps et dans le nôtre vit toujours en nous.

     De cela, nous avons déjà d’ailleurs témoigné au cœur de l’été.

NAPOLÉON D’AUXONNE À LA POLOGNE (5) - du 25 juillet 2022

     De juin à décembre 1970, votre serviteur, sous-lieutenant du contingent (classe 70 1/A), fut chef de peloton  au Quartier Bonaparte à Auxonne au 511ème Groupe de Transport de réserve ministérielle.

     Il présente à ses lecteurs quelques archives d’âge respectable qui attesteront du fait :

Claudi a choisi comme illustration du jour une photo de prise d’armes du 14 juillet 1970 où votre serviteur est sur les rangs.

    Mais me direz-vous, quel rapport avec le périple d’un lieutenant en second de la Méditerranée à Auxonne ?

    Pour votre serviteur, qui était alors sous-lieutenant, ce rapport est évident, car quelques jours avant cette prise d’armes il était à Fréjus avant de remonter à Auxonne, certes pas en turgotine, mais avec son peloton de GMC. Nous en parlerons, promis, dans un  prochain épisode…

Auxonne, tringlots des Trois Glorieuses.jpg

Auxonne, tringlots des Trois Glorieuses.jpg

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le  1er  décembre 2022 (J+5097 après le vote négatif fondateur)

Publié dans Histoires de voyages

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